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C´est l´histoire du chat qui a mordu la queue de l´ingénieur (je crois) ?
Les faits : L'ingénieur a marché sur la queue du chat, le chat l'a mordu.
Compte rendu de l'animateur au chef de section :
L'ingénieur a marché sur la queue du chat, le chat l'a mordu.
Rapport du chef de section au chef de département :
Ce con d'ingénieur a marché sur la queue d'un brave chat.
Le chat l'a mordu et il a eu raison.
L'ingénieur souffre et c'est bien fait pour ses pieds.
Il ne peut plus marcher. C'est une bonne occasion pour le foutre à la porte.
Rapport du chef de département au chef de division :
D'après le chef de section, nous avons un ingénieur qui est con et qui souffre des pieds après avoir marché sur la queue d'un brave chat qui l'avait mordu.
D'après le chef de section, c'est le chat qui a raison.
Nous partageons l'opinion du chef de section car, même si on est mordu,
ce n'est pas une raison pour marcher sur la queue des autres.
Nous envisageons de mettre cet ingénieur à la porte.
Rapport du chef de division au directeur des études :
D'après le chef de département, le chef de section est devenu con parce qu'un de ses ingénieurs ne pouvait plus marcher à la suite d'une altercation avec un chat.
Le chef de section indique que c'est la chat qui a raison puisque c'est l'ingénieur qui a bravé le chat en lui mordant la queue.
Le chef de département veut mettre l'ingénieur à la porte.
A la réflexion, cette décision pourrait déboucher sur un procès et
ce serait folie dans le contexte actuel.
La meilleure solution serait de mettre le chef de section à la porte.
Rapport du directeur des études au PDG :
Le chef de département est devenu fou parce que son chef de section a écrasé la queue d'un ingénieur qui avait mordu son chat.
Le chef de section prétend que c'est le chat qui a raison.
De toute évidence, ce chef de section est con et le chef de division envisage de le mettre à la porte. Toutefois, l'expérience a prouvé que les cons n'ont jamais entravé la bonne marche de l'entreprise. C'est pourquoi nous pensons qu'il est préférable de nous séparer du chef de département.
Rapport du PDG au conseil d'administration :
Le directeur des études me signale qu'un chat est à l'origine de troubles graves au sein de l'entreprise. les chefs de section deviennent de plus en plus cons, ils se mordent la queue en marchant et veulent avoir raison des chefs de département qui sont devenus fous.
Le chef de division a écrasé un ingénieur et le directeur des études traumatisé , prétend que seuls les cons sont capables de maintenir la bonne marche de l'entreprise.
Nous envisageons de le mettre en retraite anticipée....
Ce sont des choses qui arrivent....
Compte rendu de l'animateur au chef de section :
L'ingénieur a marché sur la queue du chat, le chat l'a mordu.
Rapport du chef de section au chef de département :
Ce con d'ingénieur a marché sur la queue d'un brave chat.
Le chat l'a mordu et il a eu raison.
L'ingénieur souffre et c'est bien fait pour ses pieds.
Il ne peut plus marcher. C'est une bonne occasion pour le foutre à la porte.
Rapport du chef de département au chef de division :
D'après le chef de section, nous avons un ingénieur qui est con et qui souffre des pieds après avoir marché sur la queue d'un brave chat qui l'avait mordu.
D'après le chef de section, c'est le chat qui a raison.
Nous partageons l'opinion du chef de section car, même si on est mordu,
ce n'est pas une raison pour marcher sur la queue des autres.
Nous envisageons de mettre cet ingénieur à la porte.
Rapport du chef de division au directeur des études :
D'après le chef de département, le chef de section est devenu con parce qu'un de ses ingénieurs ne pouvait plus marcher à la suite d'une altercation avec un chat.
Le chef de section indique que c'est la chat qui a raison puisque c'est l'ingénieur qui a bravé le chat en lui mordant la queue.
Le chef de département veut mettre l'ingénieur à la porte.
A la réflexion, cette décision pourrait déboucher sur un procès et
ce serait folie dans le contexte actuel.
La meilleure solution serait de mettre le chef de section à la porte.
Rapport du directeur des études au PDG :
Le chef de département est devenu fou parce que son chef de section a écrasé la queue d'un ingénieur qui avait mordu son chat.
Le chef de section prétend que c'est le chat qui a raison.
De toute évidence, ce chef de section est con et le chef de division envisage de le mettre à la porte. Toutefois, l'expérience a prouvé que les cons n'ont jamais entravé la bonne marche de l'entreprise. C'est pourquoi nous pensons qu'il est préférable de nous séparer du chef de département.
Rapport du PDG au conseil d'administration :
Le directeur des études me signale qu'un chat est à l'origine de troubles graves au sein de l'entreprise. les chefs de section deviennent de plus en plus cons, ils se mordent la queue en marchant et veulent avoir raison des chefs de département qui sont devenus fous.
Le chef de division a écrasé un ingénieur et le directeur des études traumatisé , prétend que seuls les cons sont capables de maintenir la bonne marche de l'entreprise.
Nous envisageons de le mettre en retraite anticipée....
Ce sont des choses qui arrivent....
Bien sûr, je reprends intentionnellement cette histoire à l'intention de certaines blogueuses de Hellocoton, qui racontent n'importe quoi sur mon différend sur un article avec une autre blogueuse lundi matin avant que je ne parte à un rendez-vous.
Je ne sais pas beaucoup pourquoi, l'affaire a été montée en épingle, et ce n'est pas moi qui n'avais rien à faire car je suis partie à un rendez-vous dont je suis revenue tard, et à mon retour se trouvait sur ma page Hellocoton une "mise en cause" d'une de mes abonnées qui ne venait jamais commenter sur ma page, et qui me disait en préambule : "je me permets ... Tu vas peut-être (sûrement) pas apprécié mais internet est un espace ouvert et je pense que tout le monde a un droit de réponse comme tu viens de le faire .. "
Or, je n'avais exercé aucun droit de réponse, l'incident pour moi était clos... et la personne qui intervenait n'avait rien à voir dans l'histoire, donc n'avait pas de droit de réponse à demander, ni à exercer. En plus, quand il m'est arrivé de dire que certains faits m'horripilent sur le net, il ne s'agissait pas de cette blogueuse, et concernant cette blogueuse, cela faisait la 2e fois où je m'étonnais de ses articles, où celle-ci n'acceptait aucun commentaire contraire à sa pensée ou divergeant ou développant, donc aucune discussion réelle sur le fond de son article, alors qu'elle demande des commentaires avec la formule "le débat est ouvert, ou joignez-vous au débat". Comme je dois alléger mes lectures pour cause d'appel vers l'extérieur, il était certain que c'était un blog que j'allais éviter.
De là, étant rentrée très tard, fatiguée surtout par la route (je me suis encore bien paumée dans cette banlieue !), je signifie à la personne que "oui, son intervention me déplaît et que j'efface son message". De là, une autre arrive quasiment dans la seconde même et recommence en disant que la précédente intervenante n'était pas agressive, mais de quoi je me mêle ? une aussi qui intervenait peu sur ma page. Elle était vraiment en embuscade.
Je lui demande de ne pas s'en mêler, et l'autre revient remet une autre couche. Je lui avais bien précisé que j'étais fatiguée, j'avais autre chose à faire, que le débat était clos, qu'elle se trompait !
A la 2e, je demande d'aller s'occuper d'autre chose... et apparemment, elle en a fait un "caca nerveux" auprès de ses "keupines" du net, et d'après un billet que j'ai lu hier, car bien que Marion, la Community Manager d'Hellocoton ait demandé d'arrêter d'en parler, cela alimente les conversations sur Hellocoton depuis une semaine -il paraît qu'il y aurait eu d'autres histoires aussi, mais je n'ai rien vu, et pourtant ce n'était pas la pleine lune.
Hier, je vais lire un billet d'un de mes contacts, et dans les billets coups de coeur de la semaine, je trouve un article daté de 28 novembre donc de lundi, où l'auteure s'érige en juge interplanétaire, et dit, en substance, "moi qui suis parfaite, je m'en fous, moi cela ne m'arrive pas, moi je suis très intelligente, fine, je sais tout, les autres, elles sont "bêtes, pleines de défauts, ridicules". J'ai tout vu, j'ai tout compris. C'est peut être l'énervement "post noël".. et bla bla bla, une ôde à son excellence ! et suivent plus de 40 commentaires de personnes qui elles aussi ont tout compris, sont parfaites...Une spécialement qui dit, "j'ai tout suivi sans rien dire, et la personne ne doit pas avoir de coeur" (c'est moi la personne.. conclusion bien hâtive). Une belle queue de chat !
L'histoire avait été relancée lundi soir à plus de 20h30.. et les attaques ont continué sur ma page Hellocoton jusqu'a mercredi soir... deux nuits durant à repousser les assaillants, ceux qui arrivés comme des papillons de nuit attirés par la lumière armes au poing qui voulaient se taper une tranche de la Ava -des blogueuses en plus que je ne fréquentais pas-, et une journée à repousser les assaillants. Et arrive encore une blogueuse non concernée par l'affaire , qui se faisait discrète, qui se met à attaquer, je l'ai remise en place ! n'arrivant à ses fins, elle s'est énervée. Marion a dû lui signifier d'arrêter.. troisième jour de relance de celle-ci... et non contente de pouvoir expulser le trop plein, elle est allée insulter une de mes amies sur son blog, la prenant pour moi la traitant de "menteuse, psychotique" - mélangeant les personnes, les blogs, les paroles, la menaçant même de poursuites ! Mamma mia !
Au passage, je voudrais signaler qu'il "paraît" que lorsqu'un article est sponsorisé la loi oblige que la mention soit mise d'après une intervenante sur ce billet "pavé dans la mare", genre "coup d'épée dans l'eau". Je n'en sais trop rien et ce n'était pas mon propos. Pour ma part, je trouve que surtout certains blogs, il y a un peu trop de billets sponsos. Et quand on a vraiment un temps limité, s'apercevoir que le billet était sponso.. sans que ce soit mentionné, c'est parfois désagréable, quoique j'apprécie certains produits proposés, et qu'il m'arrive de concourir au cas où j'aurais la chance. Egalement, pourquoi une blogueuse ne monétiserait pas son blog ? les temps sont suffisamment durs pour tous ! Souvent des billets prennent du temps, de l'énergie... parfois demandent des financements. Je ne suis absolument pas contre, mais pas des blogs ne faisant que des billets sponso : là, à mon avis, le blog devient un blog commercial et certains ont évolué récemment, et c'est dommage, celui nuit à leur qualité de blog, de personnes qui s'expriment quel que soit le domaine. A ce sujet aussi, je rappelle que les jeux et concours sont aussi encadrés, et qu'une blogueuse a eu des soucis avec le règlement, un jour, voir ici : http://www.deposezvosjeux.com/faqs-le-saviez-vous
voir ici aussi un article sur les jeux : http://nathzed.canalblog.com/archives/2010/01/15/16533744.html
Je n'ai pas retrouvé les articles concernant cette info, mais c'est comme pour l'utilisation des photos d'autres, les infos relayés, les copies de parties d'articles, et même des photos de statues pour lesquels un blogueur a été mis en cause par le sculpteur qui exerçait son droit sur l'oeuvre. Or l'oeuvre était exposée dans un lieu public : donc c'est très compliqué, le droit sur internet !
Ma réaction sur le billet initial n'avait rien à voir avec les coeurs sur Hellocoton, coeurs que je distribuais à plus de 700 par jour, sans avoir le retour, car je mettais ainsi à jour le fil d'actus de mes abonnements de plus de 800 !Et un jour, j'ai dit que j'arrêtais cette formule.. donc certaines ont dû perdre des coeurs, mais c'est le jeu ma pauvre Lucette ! Comme, et il faut le savoir, Hellocoton se base beaucoup sur les "petits coeurs" pour mettre à la Une ou en Top des billets, ce qui apporte de nouveaux lecteurs sur les blogs, c'est quand même important ! Et comme beaucoup le disent sans hypocrisie, cela fait plaisir de faire la Une, ou d'avoir un billet en Top, ou d'avoir des "petits coeurs", celles qui disent qu'elles s'en moquent, sont des "faux-culs" de première !
Egalement pour les pertes d'abonnées, on s'étonne... mais nous avons pu déterminer qu'il y a des personnes qui se désinscrivent tout simplement d'Hellocoton et qui lasses de ne pas voir de retour sur leurs blogs suppriment leur abonnement à nos pages, ce qui est leur droit le plus total ! Et je ne suis pas la seule à le constater, à le dire, cela devient même un jeu.. "tiens j'ai perdu une abonnée" -comme disait un de mes profs de français, il faudrait inventer le "point d'ironie" comme les points d'interrogation, d'exclamation, de suspension ! D'ailleurs c'est ainsi que j'ai pu récupérer le lien vers une abonnée que j'aimais bien et qui avait quitter Hellocoton. Dans cette histoire qui est partie en vrille, j'ai été très surprise de voir des "keupines" qui disaient m'apprécier depuis assez longtemps -quelques mois seulement quand même, subitement tourner casaque, l'une d'elles est même venue sur ma page, disant qu'il y avait eu une discussion sur son mur, que j'avais déçu des blogueuses et que la sanction décrétée par ce tribunal des flagrants délires auto-constitué et auto-proclamé était qu'elle se désabonnait de ma page, qu'elle avait de la peine !
Une autre m'envoie un mail et idem me stigmatise, "je suis intolérante" dit-elle (et elle donc ? 
), elle n'est pas là sur la toile pour voir cela, elle le subit (?) : dans sa vie, elle n'est que joie, tout va bien dans ses relations ! Il faut croire que dans sa vie, elle ne voit pas le malheur ou les gens malheureux, et n'a jamais été confrontée à des situations difficiles ! Or, pas de surprise de ma part, car je m'en doutais.. la veille au soir, je me suis doutée que celle à laquelle j'avais demandé de quitter les lieux avait été se plaindre et se poser comme victime... Et les autres ont gobé et pris ses paroles comme celles de l'Evangille, il faut croire que cela les arrangeait bien... raison, une jalousie inavouée avait creusé son lit quelque part, il a fallu qu'une allumette craque pour que l'incendie se transforme en brasier. Les psys diraient toujours que ces gens, c'est leur propre problèmatique qu'ils viennent exposer, et que ce n'est pas moi qui suis mise en cause.. sauf que sur la toile, c'est encore une traînée de poudre, une vilaine rumeur à laquelle il faut tordre le cou, il faut savoir ce qu'il en est de la queue de chat !
), elle n'est pas là sur la toile pour voir cela, elle le subit (?) : dans sa vie, elle n'est que joie, tout va bien dans ses relations ! Il faut croire que dans sa vie, elle ne voit pas le malheur ou les gens malheureux, et n'a jamais été confrontée à des situations difficiles ! Or, pas de surprise de ma part, car je m'en doutais.. la veille au soir, je me suis doutée que celle à laquelle j'avais demandé de quitter les lieux avait été se plaindre et se poser comme victime... Et les autres ont gobé et pris ses paroles comme celles de l'Evangille, il faut croire que cela les arrangeait bien... raison, une jalousie inavouée avait creusé son lit quelque part, il a fallu qu'une allumette craque pour que l'incendie se transforme en brasier. Les psys diraient toujours que ces gens, c'est leur propre problèmatique qu'ils viennent exposer, et que ce n'est pas moi qui suis mise en cause.. sauf que sur la toile, c'est encore une traînée de poudre, une vilaine rumeur à laquelle il faut tordre le cou, il faut savoir ce qu'il en est de la queue de chat ! 
Et pour celles qui décrètent et qui s'attendent que suite à cette affaire, toutes les autres abonnées vont les suivre, je suis désolée de leur annoncer qu'il n'en est rien après 5 jours de propagation d'une fausse rumeur : leur "putsch" est raté ! d'après les mouvements sur la liste de mes abonnées, ces dames patronnesses ne sont qu'une dizaine, alors que j'ai plus de 570 abonnés, donc ce tribunal "auto-proclamé" représente donc une poignée de queues de cerises, mais il faut croire que ces blogueuses se croyaient vraiment représentatives d'une opinion qui n'était en fait que la leur, leur petit cercle, elles croyaient être vraiment des blogueuses influentes, que le reste de la péninsule allait suivre leurs opinions, et elles se retrouvent sur un radeau de la méduse. Ces personnes étant très "amies" avec celle qui prétend avoir voulu calmer les choses, alors qu'elle ne faisait que relancer le débat, se sont précipitées dans la faille, et il faut croire qu'il y avait des choses qui ne tournaient pas rond pour si vite s'éloigner, saisir une si petite occasion, en tout cas, si vite juger car elles n'avaient pas tous les éléments et le contexte exact et initial, surtout que j'ai supprimé très vite certains échanges. Il fallait vraiment avoir l'oeil vissé à la serrure de la porte d'entrée de mon blog dans les quelques minutes où les échanges ont été faits. (il faut se méfier de l'amitié sur internet.. il m'est arrivé qu'une blogueuse avec laquelle j'étais en contact depuis deux ans, supprime son abonnement à ma newsletter car sur un article elle avait cru comprendre que je doutais de ce qu'elle disait sur la météo... je ne sais plus s'il s'agissait de pluie ou de sécheresse sur sa région !). Il faut croire qu'une certaine jalousie couvait depuis un certain temps ; à ces dames, je leur dis bon vent, et bienvenue à mes nouvelles abonnées.
Comme je l'ai dit à Marion, je suis sur Hellocoton sans aucun problème depuis deux ans, j'ai plus d'antériorité que la plupart de ces "dames"...certaines sont très récentes sur la toile, elles ont encore de l'expérience à se faire, et n'ont pas fini d'en baver vu la façon dont elles se comportent, car sur la toile, tous les coups sont permis, et on n'est jamais à l'abri de ce genre de "trahison", "mise en cause" sur de mauvais éléments, et c'est révélateur !
Il ne faut pas croire que le net soit vraiment un monde de "bisounours" ! elles peuvent s'envoyer des coeurs, des "je t'aime", demain peut être pour une broutille elles se conspueront comme dans une cour d'école maternelle ! "T'es plus ma keupine !" Ou elles resteront dans les "non-dits" à couver le mal en elles... par peur de se différencier : je ne vais pas vous faire un laïus sur un sujet que j'aime aborder le besoin d'appartenance à un gourpe, et les sacrifices que peuvent faire certaines pour y rester, le sacrifice de ses valeurs, de ses croyances, tout cela pour ne pas être seul, de peur de se faire rejeter par le groupe !
Voilà mon droit de réponse par rapport aux divers articles ou échanges que j'ai pu voir ici ou là sur des pages de mes abonnées, et il est difficile de les rater.
Il ne faut pas accorder davantage d'importance à ce "non-événement", il ne s'agit que d'un ballon qui s'est dégonflé !
Des petits proverbes Africains pour bien terminer dans la joie et la bonne humeur :
- Le monde aura beau changer, les chats ne pondront pas.
- C'est quand le chat est repu qu'il dit que le derrière de la souris pue.
- Le chat sauvage en voulant imiter l'éléphant a déféqué ses entrailles.
- Un seul lionceau vaut mieux qu'un plein panier de petits chats.
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