(pour le défi hebdomadaire de Virginie B... http://www.virginiebichet.org/)
donc un homme pour jouer, à oreilles de lapin, petite houpette, et le reste avec !
bon d'accord il vous dit bonjour, mais nous avons joué les prolongations..
Je me suis renseignée en même temps sur les "bunnies", les femmes déguisées en lapin dans certains clubs.. En fait, c'est la société Playboy qui tenait ces bars.. et n'était pas bunny qui voulait !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Bunny_girl
Pour devenir Bunnies, les candidates étaient soigneusement choisies, sélectionnées
lors d’auditions,
puis devaient suivre un entrainement strict. On exigeait des Bunnies qu’elles puissent
identifier
143 marques d’alcools et qu’elles sachent décorer 20 variations de cocktails.
Les clients n’étaient pas autorisés à toucher les Bunnies. Se mêler aux clients ou sortir
avec
des clients était strictement interdit, à l’exception des « C1 », membres les plus
importants des Playboy Clubs.
Avant chaque rotation de service, le manager pesait chaque Bunny, lesquelles ne
devaient pas
gagner ou perdre plus d’une livre (de 453,6 g), sauf cas de rétention d’eau.
Une Bunny devait également maîtriser certains mouvements,
dont la « posture Bunny »,
réglementaire devant les clients. La Bunny se tenait alors jambes jointes, cambrée, le
bassin en avant.
L’attende
ou le repos devaient s’effectuer en « Bunny perchée » : la Bunny s’assoit sur le dos d’une
chaise, d’un canapé ou
sur une rambarde, pas trop près d’un client. La manœuvre la plus célèbre, le « Bunny Dip »,
fut inventée
par Kelly Collins qui eût la réputation d’être la « Bunny parfaite ».
Pour l’effectuer, la Bunny se penche
gracieusement en arrière tout en pliant les genoux, avec le genou gauche levé et placé
derrière la jambe
droite. Ce mouvement permettait de servir des boissons sans se pencher par-dessus
les tables, ce qui
risquait de faire sortir les poitrines des costumes.
Contrairement à certaines rumeurs, les Playboy Bunnies n’étaient pas des prostituées.
Elles n’étaient
pas autorisées à donner leur nom de famille, et encore moins à coucher avec un client.
Travailler dans
un Club était sans danger et, les salaires élevés n’étant pas monnaie courante pour les
femmes dans
les années 1960, ce travail fut populaire chez les femmes.
Voici un ravissant service à petit déjeuner
dans le style !
LOVE, LOVE, LOVE !